Douché par l’hostilité contre-productive et l’incurable vassalité €uropéenne et atlantiste aux intérêts des lobbies qui dictent leur loi à Washington, Poutine semble — si même il garde la porte ouverte à la promotion d’intérêts communs — avoir en grande partie renoncé à se rapprocher encore de l’€urope.
L’Occident s’effondre : il lui suffit donc d’attendre et, sachant qu’un fauve n’est jamais aussi dangereux que dans les spasmes de son agonie, veiller à préserver son peuple et le territoire russe de toute velléité atlantiste d’aventurisme militaire.