Sandro Ferretti Sandro Ferretti 11 juin 2020 18:13

Je ne suis qu’à moitié chez moi, ici.

Mais ce serait bien qu’après ces paroles sages de Sabine, nous en restions là.

Les aigreurs mal ravalées, les consanguinités mentales et les émois solitaires ne m’ont jamais intéressé : alors c’est dire ce soir...

Et j’observe qu’hormis Argo (nous nous tutoyions pour d’autres raisons, qui datent de l’affaire Yvan Colona), tant Cova que Sabine (qui étaient les deux personnes dont j’avais toujours le plus de plaisir à lire les lignes ici) sont des personnes avec qui nous nous sommes toujours vouvoyés. Pendant plus de 12 ans pour Cova.

Bien que nous nous soyons confiés des choses intimes d’hommes, comme bourrer de papier journal le reste de boite crânienne d’un cadavre, avant de le bander pour que ça ressemble à quelque chose pour la famille. Nous l’avons fait moi en jean’s blouson cuir, lui en treillis.

Et bien d’autres choses.

Pas des histoires de PEGC , c’est sûr.

Je suis content d’avoir vouvoyé Cova jusqu’au bout, malgré la tentation du « brother in arms ». Et je crois qu’il avait deviné le respect qui chez moi allait avec.

Bonne soirée.


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