Ce regard synthétique sur le versant financier de la crise est bienvenu, même s’il fait l’impasse sur l’économie réelle (production et échange des biens et des services) et sur la diversité de ses composantes.
Mais qu’est-ce qui permet une affirmation aussi brutale que « les plans de relances n’ont absolument pas pour but de sauver des emplois
ou des entreprises, mais uniquement de sauver le capital en bourse des
actionnaires » ?