Clark Kent Séraphin Lampion 20 juin 2020 09:01

Pas faux, mais ce qui est plus difficile à analyser est le fait qu’il s’agit d’un opéra à l’échelle mondiale, ce qui ne veut pas dire que tous les états soient impliqués dans l’écriture de la partition, mais que tous les mais du « camp du bien » en sont les interprètes, tout en ayant quelques difficultés pour se mettre à l’unisson.

Du coup, les fausses notes du troisième violon ne sont perceptibles que par une oreille exercée, qu’il s’agisse d’un spectateur ou d’un musicien à proximité.


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