Pascal L 23 juin 2020 11:34

@oscar fortin
Vous changez de sujet...
Contrairement à Cuba, le Vénézuela dispose de pétrole, ce qui, avant la crise pétrolière actuelle, était suffisant pour assurer l’indépendance économique du Vénézuela. L’exemple de la Norvège nous montre qu’il est possible d’assurer l’aisance de la population sans trop de difficultés avec du pétrole. L’échec du Vénézuela est à imputer en premier au gouvernement vénézuélien. Comme je l’ai déjà dit, accuser les autres de turpitudes permet de se dédouaner de ses propres turpitudes.
Par ailleurs, vous me citez un document concernant Cuba et rien ne montre que la méthode est la même pour le Vénézuela actuel. La situation a bien changé depuis Eisenhower. Les Démocrates américains ont viré bien plus à gauche que notre parti socialiste et les Républicains sont bien plus à droite que nos républicains à nous. 
Mais vous avez raison sur un point : Nous sommes dans une guerre économique. Malheureusement, la cupidité est présente partout. Ce n’est même pas une guerre des riches contre les pauvres car il y a beaucoup de pauvres prêt à exploiter de plus pauvres qu’eux. J’ai observé cette situation dans ma période brésilienne dans les années 90. Il s’agit plutôt d’une guerre de ceux qui ont une capacité de nuisance contre ceux qui n’en disposent pas ou qui préfèrent ne pas l’utiliser. Bien entendu, la capacité de nuisance est partout, même dans les structures de l’Etat vénézuélien.
L’enseignement de Jésus nous conduit à ne jamais utiliser de capacité de nuisance et de soutenir ceux qui n’en disposent pas, non pour qu’ils acquièrent une capacité de nuisance, mais pour qu’ils n’en aient pas besoin. 
L’expérience m’a montré que lorsque l’on s’en remet à Dieu, la misère disparaît car l’Esprit-Saint pourvoie, non à la richesse, mais à ne manquer de rien. Tout ce qui est au-delà n’est pas forcément le fruit de la cupidité, mais l’Esprit-Saint n’y est pour rien. La première des charité est donc d’apporter Jésus, le reste vient en supplément.
Jésus pourrait être la solution pour le Vénézuela, la situation actuelle nous montre qu’il n’est absolument pas présent. Le Christianisme n’est pas fondé sur des rites et sur un texte sacré. C’est la rencontre avec Jésus vivant qui en est le fondement mais qui vraiment cherche à le rencontrer ? N’avons-nous pas peur des conséquences que cela entraîne sur notre vie ? 


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