Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 6 juillet 2020 10:32

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Effectivment. Je vois que nous fûmes tous concernés. Ah parano quand tu nous tiens. Je pensais avoir dépassé les limites et être sanctionnées. L’imagination commence à tourner en boucle. Suis-je allé trop loin sur la PMA. AH, ceux-là qui sont pour ne seront JAMAIS mes amis. C’est dire que la fraternité se restreint,... Hier encore j’échangeais avec un ami sur la concertation des citoyens sur les sujets de société et autres,...j’étais plutôt pour au départ, la Belgique tourne en rond dans le marasme. En finale, j’ai donné raison à mon interlocuteur ;; ;sur ce mot, tu sais bien M. les citoyen lambda est assez bête (peu instruit).. Il a un peu raison. Cette nuit mes rêves ne donnèrent pas raison à votre article,...entre le rêve et l’utopie,..le cauchemar classique, j’étais poursuivie par des personnes mal intentionnées. Heu ! réveil plombant. La société est loin d’être sécurisante. Chacun pour soi et dieu pour tous. Courage fuyons. Et pourtant, j’avais lu il y a longtemps : joseph et ses frères des Thomas Mann. A l’époque cela m’avait convaincue. Mais j’ai mûri. Caïrn info : La fraternité, inscrite dans la devise de la République, est une valeur socialement construite. Déjà, Freud notait qu’au sein de la famille, la solidarité fraternelle s’instaure sur le refoulement d’une hostilité première. On peut faire l’hypothèse que les importantes transformations de la cellule familiale survenues au cours des cinquante dernières années ne sont pas pour rien dans l’exacerbation des conflits tant sur les plans interindividuel que sociétal.
Un peu partout dans le monde se multiplient guerres civiles, terrorisme, luttes fratricides et, dans nos démocraties occidentales, montée des individualismes, indifférence à la souffrance d’autrui, rejet de l’étranger… Dans un tel contexte, on peut s’étonner de voir ressurgir, au titre de la « psychologie positive » (Lecomte, 2012), dans les médias grand public, le mythe du bon sauvage sous la forme d’une version idéologique de l’empathie, appuyée sur les bien mal-nommés « neurones miroirs » (Rizzolatti, Sinigaglia, 2007). Le terme laisse, en effet, croire à une réflexivité purement perceptive tandis que la saisie des émotions, sensations, intentions d’un congénère suppose, au contraire, une intrication complexe de processus perceptifs, cognitifs et émotionnels. C’est oublier, par ailleurs, que cette saisie ne préjuge pas, envers le congénère, d’une disposition positive (sympathie), négative (antipathie) ou neutre (empathie). Elle peut aussi bien être mise à profit pour la concurrence que pour l’entraide. Il est donc pour le moins hâtif d’en déduire une disposition innée, génétique donc, à la coopération chez les humains…Mais merci pour l’article. Cela fait réfléchir.


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