Laurent Fabius avait donné ses consignes aux journalistes en 2015, lorsqu’il présidait la COP 21 : il faut parler du dérèglement climatique.
Le message a été bien reçu, c’est le terme qu’ils utilisent à présent.
C’est pratique, ça marche dans les deux sens et ça explique tout, les vagues de chaud comme les vagues de froid et les sécheresses aussi bien que les inondations.