Fergus Fergus 11 juillet 2020 09:14

Bonjour, Pascal L


« Aujourd’hui, il est techniquement possible de réduire la souffrance physique, mais pas la souffrance morale qui doit rester prise en charge par la famille. Le problème, ce n’est pas le malade, mais moi et vous. »


Ce n’est pas, loin s’en faut, qu’une question de famille. La romancière Anne Bert a écrit ceci en exergue de son dernier livre sur le choix de son suicide assisté : « J’aime trop la vie pour me laisser mourir ». Atteinte de la maladie de Charcot, et donc menacée d’une déchéance irréversible, elle est allée mourir en Belgique. J’ai raconté cela dans un article de 2017 : Anne Bert, le choix de la mort dans la liberté et la dignitéMon épouse et moi sommes exactement dans les mêmes dispositions d’esprit.


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