Et, rapidement, l’impression que tout est redevenu (presque) normal s’est répandue, amenant collectivement une baisse de la vigilance, et du respect des « mesures barrière ».

Mesures provenant d’une crise artificielle d’un mal que les meilleurs spécialistes ne comprennent par pour une solution qui ne viendra jamais profitant à une élite mondiale qui a banalisé la peur et imposé unilatéralement des comportements et pratiques douteuses.

Z’avez pas l’impression d’être une souris de laboratoire ?Je suis certain que vous vous chieriez sur la tête si on vous le vous ordonnait...

On a substitué la normalité à la prévention et la prévention à l’illogisme. De ce fait, l’illogisme (masques en permanence, gel et autres conneries) est...devenu la normalité et ensuite une norme...

Mais le virus se moque de nos envies humaines.

Ce n’est pas « le virus » qui a tué 30 000 personnes, ce sont ceux qui sont aux manettes du pays avec leurs mensonges et actions folles.

Les statistiques réelles du taux de mortalité sont infimes.

Et chez nous ? Sans doute cela approche, car nous sommes clairement collectivement trop négligents.

Suggestion : creusez-vous un abri anti-atomique comme pendant la guerre froide et n’en sortez plus jamais, tout en vous faisant livrer via un monte-plats...au cas où la 1000ème vague (de connerie) déferle sur la France.

Le « nous » dans votre phrase me fait vomir. Vous gobez tout ce qu’on vous raconte et prolongez cette culpabilisation déjà lancée par le pouvoir lui-même coupable de cette crise.

La preuve nous en est donnée par une analyse imparable produite par OpenHealth

Toutes les études sur le sujet sont bidonnées, tellement que ça a fait plusieurs scandales...

Et des achats de paniers de ces antitussifs sont utilisés comme des marqueurs d’une possible atteinte par le coronavirus.

Voilà la « preuve » (indirecte) des études pseudo-scientifique.

Acheter un couteau ne signifie pas qu’on va tuer quelqu’un ou qu’on est un chasseur...comme quoi ils vont vraiment à la pêche aux infos car ils ne savent pas par quel bout prendre le problème...

Jusqu’où cela ira-t-il ?

Cela dépend encore, et une fois de plus, en grande partie de nous. Il faut remettre les masques, rééloigner les tables dans les restaurants qui ne respectent pas les bonnes distances, ne pas participer à des rassemblements massifs sans masques.

Conclusion de l’auteur :

solution : pas de solution.

Restons bêtes à nous trimballer avec un accoutrement de chirurgien dans les lieux publics, dans la voiture voire sous la douche. A nous laver les mains à nous faire saigner la peau et ne plus savoir pourquoi on se les lave. On s’en fout.

Imaginer le futur libre — où on pouvait circuler sans avoir une société fliquée et moraliste parce qu’on ne porte pas de masque — est terminée, mais pourquoi s’en soucier quand on ne se sert pas de son cerveau.

Un pigeon comme Macron les aime.