@Tibère

Il n’y a pas de complot mais une convergence d’intérêts entre Etats et firmes.

Les grandes institutions telles que l’OMS/l’ONU sont gravement influencées par leur financement. La dernière fois que l’ONU a été menacée par les USA — à propos d’un territoire qu’ils avaient qualifié d’ « illégitime » —, ce sujet a soudainement disparu de leur agenda. Alors que nos territoires d’outre-mer sont qualifiés de « territoire à décoloniser », bizarre non ?

80% du budget de l’OMS est, d’après ce que je viens de lire, financé par des acteurs public ou privés alors que seulement 20% l’est par les Etats signataires. Les USA payaient plus de 100 milliards, la France en est le sixième contributeur.

Le conflit entre intérêt public et privé est donc inévitable. Le premier financement privé est...la Fondation Bill Gates — pseudo fondation philanthropique.

https://www.liberation.fr/checknews/2020/04/17/qui-finance-l-oms_1785538

L’Etat français a réussi, depuis les attentats de Paris, a resserrer la loi de telle manière que les libertés fondamentales sont, actuellement, extrêmement réduites : état d’urgence, état d’urgence sanitaire, nouvelles lois (inutiles) sur la liberté d’expression, fin de la neutralité d’internet, etc.

Le recul des libertés par rapport à la période 50-90 (voire 2000) est flagrante. Aujourd’hui, on érige en norme éternelle le port du masque, de mettre du gel et obéir à des normes sans queue ni tête.

Dans les années 90, personne n’aurait accepté une crise infinie, encore moins la gestion désastreuse et criminelle/mensongère. Les gouvernements de l’époque, aussi pourris que maintenant, n’auraient pas non plus accepté la situation.

Il n’y a actuellement plus de débats publics et lorsqu’il y en a (rarement) c’est le pouvoir qui les orchestre. Et il édicte des interdictions/normes pénalisante sans que les gens réagissent. Normal n’est-ce pas ?

Il n’y a plus d’opposition non plus. Plus personne pour donner son avis contre l’avis dominant qui passe dans les médias.

Le but est double. Prendre le pouvoir politique via la classe politique du moment.
Prendre le pouvoir économique via la dette qui mène à infléchir la législation des Etats et leur demander le plus possible.

Ils parlaient même de « supprimer la constitution » parce que ça gênait leurs petites affaires !