@Fergus
ghettos de grande précarité dont la grande majorité de la population essaie de subsister avec des moyens honnêtes. Oui, une grande majorité qui souffrent comme ailleurs dans nos banlieues des méfaits d’une ultra minorité délinquante. La famille Traoré est un contre-exemple assez évident de cette simpliste explication par la seule précarité.
La sévérité dans le traitement de ces délinquant est un service rendu à tous ces gens honnêtes étrangers ou banlieusards qui ne peuvent vivre. Ce tiers monde honnête, femmes de ménages, caissières, gardiens, ouvriers du bâtiment, de la restauration, des livraisons, ... sont les premières victimes.