Clark Kent Séraphin Lampion 8 août 2020 11:38

Ce que vous évoquez, c’est l’industrie touristique, le « tourisme de masse » qui est un « produit » juteux, mais qui est au « voyage » ce que la « confection » est à la « haute couture ».

« Voyager » n’est pas une pratique grégaire de migrations saisonnières. c’est un « art » qui se pratique seul. Dès que le voyageur est « accompagné », il se trouve devant le même paradoxe que l’anthropologue : la présence des intrus modifie le milieu qu’ils entendent « découvrir ». Et plus ils sont nombreux, plus ils ne "découvrent qu’eux-mêmes.

Et il n’est pas nécessaire d’aller loin pour voyager.


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