infraçon infraçon 3 novembre 2020 19:22

Bonsoir Michael,

je ne sais pas où vont nous entraîner vos deux autres articles, néanmoins je réagis à ce premier article...

« les services sociaux spécialisés qui tous, les uns après les autres nous répondent : « Votre fils est majeur. Tant qu’il ne représente pas une menace pour les autres nous ne pouvons rien faire. »

« Comme il n’est pas violent et qu’il est majeur l’hôpital n’a pas pu le retenir. La moutarde me monte au nez car j’avais remis mon fils entre les mains d’une institution en qui j’avais confiance. Et celle-ci me fait comprendre qu’un adulte a le droit de se droguer s’il le veut. »

Je pense que la relation de voisinage serait une mine d’entraide formidable. Enfin pas dans la société actuelle où on dresse l’un contre l’autre... Mais dans une société fraternelle ( https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/societe-fraternelle-4-fontaine-je-226906 )
tiré des vidéos citées en référence dans l’article :
« [la relation de voisinage] Sans être une obligation de contacts permanents, elle nécessite le maintien d’un réseau de voisins d’une part selon les affinités des uns et des autres ou d’autre part en se partageant une prise de contact respectueuse avec les voisins volontiers solitaires.
(...)
ces contacts locaux permettent d’aider des citoyens qui seraient dans des difficultés de santé physique ou psychologique, dans la mesure des ressources locales. Ou sinon de faire appel aux personnes compétentes, qui elles auraient du mal à prendre connaissance de toutes les personnes en difficulté de leur région. »

Et dans une société fraternelle, bien sûr que les institutions seraient elles aussi « fraternelles ».

Ce qu’on ne voit pas sous notre nez, parfois c’est évident pour une personne extérieure...


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