Legestr glaz Legestr glaz 25 août 2020 14:55

@Jean Guillot le retour

Les virus, effectivement, sont toujours autour de nous, les hommes vivent avec depuis la nuit des temps, depuis que le monde est monde.

Si l’être humain cherche à aseptiser son environnement avec diverses mesures grotesques, c’est qu’il a perdu la raison ou qu’il fait un autre calcul.

L’homme vit avec les virus et il continuera de le faire, avec ou sans masque. Les virus respiratoires aérosols se moquent des masques, de la distanciation sociale et du lavage des mains. Ce n’est pas leur mode de propagation privilégié. Le virus respiratoires aérosols sont en suspension dans l’air et l’être humain les respire. Son immunité fait le reste, ou pas. Les masques ne protègent pas des virus respiratoires aérosols. C’est une véritable hérésie de le penser. 
Le port du masque et le climat anxiogène qui va avec, est une stratégie politique ! Le virus ne tue plus personne sauf de désespoir de voir un monde de liberté s’écrouler !

La toupie en 2011 ! Il n’y a pas de hasard !

« Selon Dan Gardner [1], l’efficacité des politiques de la peur serait due au fait que l’évaluation des risques et les façons de s’en protéger ne résultent pas d’une attitude rationnelle, mais d’un comportement émotionnel entretenu par les hommes politiques. C’est un corollaire de l’explication donnée par Edward Bernays [2] pour qui la mentalité collective est guidée par l’impulsion, l’habitude ou l’émotion et non par la pensée.

Irene Khan, secrétaire générale d’Amnesty International, a souligné ce phénomène à l’occasion de la sortie de son rapport 2007 :  »En adoptant des politiques à court terme qui encouragent les peurs et créent la division, certains gouvernements sapent l’Etat de droit et les droits humains, entretiennent le racisme et la xénophobie, divisent les populations, augmentent les inégalités et sèment les germes de nouvelles violences et de futurs conflits« .

Si l’on a pu considérer la »politique de la peur« comme l’une des caractéristique des dictatures, l’emploi de cette expression dans une démocratie sous-entend que les hommes politiques instrumentalisent des craintes avérées ou non de la population pour atteindre leurs objectifs. Il s’agit-là d’une forme de manipulation de l’opinion, de manière indirecte ou subliminale, qui réveille les pulsions les plus abjectes de la xénophobie et du racisme. Les discours alarmistes et anxiogènes ainsi que la désignation d’ennemis intérieurs servent alors à légitimer des mesures disproportionnées qui portent atteinte aux droits fondamentaux, dans le but de mieux contrôler la population.

La classe politique, impuissante devant l’oligarchie financière qui dirige l’économie mondiale, a besoin pour rester au pouvoir d’agiter le chiffon rouge de la peur pour détourner l’attention du peuple. Concentrée sur des »guerres perpétuelles", méfiante et divisée, l’opinion publique mondiale n’est plus tentée par la remise en cause du système politiquo-économique en place.


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