« Ceux qui perdent leur temps à dénoncer le « péril oriental »,
alors que les Orientaux ne menacent personne, ne font aucun prosélytisme
et demandent simplement qu’on les laisse tranquilles chez eux, ce qui
est assez légitime, ceux-là, dis-je, devraient bien se rendre compte que
le vrai péril, pour l’Occident moderne, est celui qui vient de ses
propres défauts. »
René Guénon, Les Appels de l’Orient, Les Cahiers du Mois, 9/10, Paris, 1925