Au rugby, les Anglais nous ont piqué le beau jeu pour ne nous laisser que la mécanique newtonienne des kilos lancés.
Et je leur en veux. Et, moi qui n’aime pas la violence, je me prends à regretter que McCaw puisse passer toute la finale à pourrir les balles dans notre camp, alors qu’un Cholley lui aurait sans être trop puni fait mordre le gazon.
Enfin, j’aime bien l’anglais au jardin, quand j’entends un canard parler.