@sylvain
Les enfants des classes moyennes et des classes pauvres « supérieures » (le bel euphémisme !) n’ont plus accès aux logements sociaux pour démarrer dans la vie active.
Ceux-ci sont le plus souvent accaparer par les biens pensants pour héberger de nouveaux migrants.

Résultats, de plus en plus de classes moyennes ou pauvres (supérieures) sont obligés de se rabattre sur les logements privées dont les prix explosent d’année en année, enrichissant au passage toute cette oligarchie de bobos bien pensant qui sont justement favorables à l’accueil de davantage de nouveaux migrants. (pas folles les guêpes)

On construit toujours plus de logements sociaux, mais les classes moyennes et pauvres (supérieures) désertent les grandes villes devenues trop chères pour eux. (ce n’est pas bien grave pour nos bobos , les locations RNBI les remplacent encore bien plus avantageusement)
Dans ces grandes villes, il n’y aura bientôt plus que des logements pour bobos riches et des logements sociaux pour des migrants qui leur servent d’esclaves de proximité pas chère.

Comme a dit Laurent Joffrin sur BFM le mois dernier, « sans les migrants, nous n’aurions plus de chauffeur de taxi, de femme de ménage et d’éboueur... »

Il ne s’est même pas rendu compte de l’énormité de ce qu’il venait de dire.