Tous ces chiffres montrant l’augmentation du « taux de positivité » seraient peut être valables si les tests étaient faits au hasard parmi la population, ce qui n’est pas le cas :
— certains demandent un test parce qu’ils ont des symptômes.
— d’autres sont testés parce qu’ils ont été en contact avec un malade.
— on teste dans des « clusters » ou les malades sont supposés plus nombreux.
On peut ajouter qu’environ 30% des tests positifs sont des faux positifs.
Bref tout semble fait pour affoler la population cela semble fonctionner,même au PRCF.