@Fanny

Vous n’avez pas compris le message central (et interdit d’expression) de Zemmour. Il dit que l’islam est un bloc, et que tous les musulmans sont partie de ce bloc.

Ce qui signifie en creux qu’en cas de grande tension entre le pouvoir et les islamistes/salafistes en France, ceux qu’on nomme aujourd’hui les bons musulmans, les modérés, les discrets, prendront le parti des islamistes, tout aussi discrètement pour la plupart.

Reprocher à Zemmour cette opinion radicale, c’est censurer son message. Vous avez peur de la liberté d’expression et rejoignez le parti de la censure, tout en croyant défendre Zemmour.

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Je ne reproche pas à Zemmour son opinion, mais je pense qu’il y a(vait) une solution.

Il suffisait de dire aux musulmans qui voudraient appliquer un islam radical au dessus des lois de la république. 

primo que cela était strictement interdit
qu’en cas de manquement à cette règle ils s’exposaient à des sanctions comme la perte de nationalité et le renvoi éventuel en cas de récidive.

Au lieu de cela on est allé de compromis en compromissions et on a permis aux salafistes de s’infiltrer partout.

le pouvoir se plaint de conséquences dont il est la cause.

Voilà ce que l’on permet en France.

Le niveau de naïveté ou d’incompétence ou de de compromission de nos dirigeants, de nos politiques et de notre justice est affolant.

Villiers-le-Bel (95) : En situation irrégulière, l’imam pakistanais interpellé pour apologie du terrorisme enseignait le coran aux enfants (MAJ : il prétend avoir tenu ces propos pour créer le buzz)

Poursuivi pour « apologie publique d’un acte de terrorisme », Luqman Heider, 33 ans, un imam officiant la mosquée Quba de Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), a été placé en détention provisoire dans l’attente de son jugement devant le tribunal correctionnel de Pontoise le 12 novembre.

La justice lui reproche la publication de trois vidéos sur la plateforme qui compte 4 millions d’utilisateurs en France.

Dans la première, mise en ligne le 9 septembre, il revient sur les caricatures que Charlie Hebdo s’apprête à publier soulignant que « les fidèles musulmans sont prêts à se sacrifier pour le prophète », note Le Parisien.

Le lendemain, il parle « d’attaquer les non-musulmans, les mécréants », et de « les envoyer aux enfers ».

Enfin, le 25 septembre dernier, il rend hommage à celui qui a perpétré l’attaque terroriste devant les anciens locaux de Charlie Hebdo et se félicite des répercussions de son acte. Des propos que l’imam a reconnu.

Ce dernier, qui prêchait occasionnellement à la mosquée, donnait des cours de Coran à des enfants âgés de 6 et 11 ans. Arrivé en France en octobre 2015, se trouvait par ailleurs en situation irrégulière ayant fait l’objet de deux obligations de quitter le territoire français. Il venait d’effectuer des démarches pour obtenir un titre de séjour.

La gazette du Val d’Oise