@Fanny
"et soutenue par
l’oligarchie des pays occidentaux"
A l’exception de Trump, bien
entendu.
Comme il est le chef de la
première puissance occidentale, je me dois de corriger mon propos.
Cette exception, assez
extraordinaire, est violemment combattue par tout ce que l’Occident compte de progressistes,
c’est à dire en gros la classe dirigeante (avec l’appui des gauchistes,
curieusement),
On saura le 3 novembre si
cette irruption d’un national-conservateur - Trump - au milieu du poulailler
progressiste et globaliste est un accident, un soubresaut des condamnés de l’histoire
(un peu comme nos gilets jaunes), ou s’il s’agit d’une nouvelle donne de l’histoire,
signant le recul des universalismes (capitalisme, communisme) au profit d’un
localisme davantage soucieux de l’environnement.