simir simir 23 septembre 2020 16:37

@oncle archibald
Non les républicains n’ont passés personne à le casserole.
« Un certain nombre d’exactions politiques sont l’œuvre de prisonniers libérés, amenant la CNT-FAI à déplorer que « la pègre déshonore la révolution ». »
« Les persécutions semblent avoir en partie dépendu moins d’ordres précis de la part de la CNT ou de la FAI que de l’humeur des dirigeants des « comités anti-fascistes » locaux »
"Les exactions commises durant la guerre civile semblent surtout s’être déroulées dans un contexte d’absence totale de contrôle, et non en fonction d’un plan organisé par les dirigeants politiques républicains. Le gouvernement de Francisco Largo Caballero, arrivé au pouvoir en septembre, prend des mesures fermes pour rétablir l’ordre et la loi, aboutissant à une diminution des pillages et des meurtres23. Le ministre de la Justice Juan García Oliver, lui-même anarcho-syndicaliste, met fin aux excès de la « justice populaire », et notamment des patrouilles de miliciens agissant sans contrôle : des camps de travail sont institués, permettant notamment aux condamnés d’y purger leurs peines à l’abri, et les peines de mort prononcées par les tribunaux sont décrétées révisables"
https://fr.wikipedia.org/wiki/Terreur_rouge_(Espagne)

Tout cela n’était pas planifié et c’était surtout incontrôlable comme le furent les exécutions sommaires commises en France à la libération.


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