McGurk McGurk 28 septembre 2020 15:51

Dans les pays dit « démocratiques », les élections quel que soit l’échelon n’ont rien à voir avec les qualités des candidats. Il suffit de maîtriser l’art de parler, avoir de solides partenaires financiers et une bonne équipe de com’.

Les députés sont le premier cran de cette mascarade démocratique permettant, entre autres, à ceux détenant le pouvoir (économique) de placer leurs pions afin d’obtenir un réseau solide dans le but de récolter les subventions et soutiens pour engraisser leurs actionnaires drogués jusqu’à l’os par l’argent et voulant une dose toujours plus grande.

Les sénateurs permettent de valider les projets de l’élite, masquée derrière les députés. Un sénateur ou plusieurs dans la poche = contrôle économique d’une zone déterminée voire d’une région.

Pour des groupements industriels plus importants, mieux vaut sûrement toucher directement la tête de l’Etat (même si elle n’a pas de cerveau) car les effets seront d’ordre national. Avec l’UE qui règne, mieux vaut plutôt soudoyer les hauts représentants de l’institution dont les pouvoirs ont une portée continentale et plus seulement nationale.

Si on devait faire passer un test psy à tous nos « représentants », il faudrait ouvrir de nouveaux établissements psychiatriques dans tous les départements car aucun ne passerait les tests de base tous à se prendre pour Napoléon (ou, par « féminisme », « Napoléonne »).

Vaut-il mieux quelqu’un de fou ou de rationnel ?

Pour ma part, je pense qu’au-delà du profil de base de Macron à se croire pour Napoléon (à qualifier chacun de ses actions d’ « historiques »), son profil a été savamment étudié.

Il fallait quelqu’un de suffisamment sadique, sot pour croire à son destin « exceptionnel », d’arrogant et de jeune attrape-nigaud pour la foule , un gentil petit caniche qui donnerait la patte lorsqu’on le lui demanderait (en somme un collabo).

Une personne « rationnelle » ne suffisait probablement pas, trop encline à négocier avec l’opposition méprisée par ceux manipulant les grands partis ainsi que l’UE. Il fallait, de toute urgence, passer au projet européen impérialiste pour ouvrir les vannes de l’argent public.

Tabasser à grands coups de lois « européennes » (ex : liquider les entreprises publiques) était un prélude au projet de destruction des nations. Peut-être qu’un fou, sans limite et arrogant, était la meilleure réponse afin de vider l’Etat de toute sa substance et le contribuable de toutes ses liquidités/de son avenir.

Un fou n’a aucune de notion du bien ou du mal, encore concernant ses limites (car elles définissent les libertés des autres), ne se soucie de personne. Sur ce point, tout le monde est probablement d’accord que cela définit bien notre pseudo-président.

Ceux qui disent qu’ils « ne s’en étaient pas aperçu » sont de mauvaise foi. Ses intentions malveillantes étaient clairement expliquées dans son « programme » et tout le monde l’a reçu ( à la sortie du métro par exemple).

Mais qui est le plus fou, en définitive ? Un fou qui se présente, appuyé par un groupe de psychopathes avides d’argent, ou bien un électeur benêt qui vote pour n’importe qui les yeux fermés ?


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