Franchounet 10 octobre 2020 19:33

Si Bouygues était vivant, tiendrait-il le même discours : 

 Viennent ils pour travailler ? Certains, pas tous

 Sont-ils courageux ? Non, Certains, pas tous.

 Parlent-ils notre langue ? Bof.

 Sont-ils qualifiés ? Non

 Ont-ils la même idée en tête (repartir au pays) ? Sûrement pas, au contraire, ile veulent rester. Mais ils ne sont pas tous repartis, sinon nous n’en serions pas dans cette situation avec les descendants d’immigrés. Ils sont aujourd’hui en situation de conquête.

 Peut-on parler de main d’œuvre ? Une partie ne vient pas pour travailler.

 A-t-on besoin d’autant de main d’œuvre aujourd’hui ? Sûrement pas, pas celle-là, non qualifiée.

 Aujourd’hui, et ce depuis 1974, et surtout depuis 1981, le contexte a changé : le pays est complètement reconstruit, les industries ont disparu, le chômage ne descend jamais au dessous de 7%, et l’immigration est toujours aussi forte depuis : 276 000 titres de séjour accordés en 2019, 130 000 soi-disant demandes d’asile en 2019, 295 000 dits-mineurs soit 20% de la population des moins de18 ans pris en charge par la protection de l’enfance, un stock de clandestins estimé entre 300 000 et 400 000,... et ce sera tout !

 L’omniprésence de la religion dans leur quotidien d’aujourd’hui.

NB : Le Conseil d’Etat a empêché VGE de mettre fin au regroupement familial 


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