Étirév 6 octobre 2020 15:03

Tout commencera à aller un peu mieux sur Terre lorsque, une bonne fois pour toute, la majorité des peuples et de leurs gouvernants (honnêtes) arriveront à comprendre comment et pourquoi l’origine de tout le mal et toute la souffrance qui règnent en ce bas monde n’est pas à mettre à l’avoir de tous les juifs, notamment ceux de la « rue » ou de la bourgeoisie juive... mais est l’œuvre séculaire et intégrale de la caste dirigeante et secrète de ce peuple, agissant au nom de son dieu mâle « ADONAÏ », inventé au VIème avant notre ère.
Adon, d’où il vient, est un nom qu’on prononça d’abord Edon. C’est depuis qu’on a donné le nom d’Adam au premier homme (pendant la captivité), qu’on va introduire ce nom dans la nouvelle religion masculine, en opposition avec le nom de Hevah (la Femme).
Il est facile de montrer que Adon ou Adam sont un même nom. Tous deux signifient le rouge ou le roux.
Adam, l’homme, le premier-né (comme Esaù, dont il recommence la légende), c’est l’adversaire de la Femme ; Esaù était son frère, Caïn aussi.
Celui-ci sera son époux, parce que, depuis, on a inventé le mariage. Ce sont les Juifs Kabbalistes qui de Adam ont fait Edon et Adon.
Il était facile de changer les voyelles, puisqu’on ne les écrivait pas.
Cet Edon, cet ennemi, est représenté d’abord comme le « farouche Adonaï » du désert, l’adversaire redoutable, tel que les Caïnites le furent pour les Habélites (la légende est la même, du reste).
Quand ce culte nouveau s’introduisit chez les Juifs, après leur retour de l’exil, ils substituèrent ce nom à celui de Hevah, et choisirent le mont Calvaire placé au nord-ouest de Jérusalem pour célébrer les fêtes de ce Dieu nouveau, auquel les hommes donnaient la beauté de la Femme, en même temps qu’ils lui donnaient son rôle et sa puissance.
On donna si bien à Adonaï l’apparence d’une femme, que des auteurs s’y sont trompés. Du temps de Plutarque, il était considéré comme androgyne. Dans les hymnes d’Orphée, c’est aussi un être androgyne (Hymne 53). Ce n’est qu’après le Christianisme qu’il ne sera plus qu’un Dieu mâle doué des qualités et de la beauté de la Déesse.
C’est l’Adonaï des Syriens qui devint, en Grèce, le bel Adonis.
Le torrent bourbeux des passions de l’homme crée partout les mêmes parodies. On va jusqu’à donner le surnom de Hevah au Dieu des ivresses furieuses, et on crée Bacchus-Sabas. Puis on s’excuse en écrivant dans l’histoire que les Bacchants sont des Bacchantes ; ce ne sont plus des hommes qui se livrent à l’orgie, ce sont des femmes, de chastes jeunes filles, tout d’un coup prises de rage frénétique, tous les crimes masculins sont attribués à des femmes...

Tout ceci explique le niveau effarant d’immoralité actuel dans lequel patauge misérablement notre Monde.


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