La carte du « virus » correspond grosso modo aux zones particulièrement urbanisées, donc les plus gros réservoirs de serfs potentiels.

C’est une carte du servage ou même de l’esclavage à venir, selon des prévisions mathématiques à l’anglaise.

Quelques sales types outrecuidants se disent en comité restreint : recensons nos possessions ! Comment utiliser cette force de service au mieux de nos intérêts économico-sataniques de très-riches (en choses), comment éliminer le (gros) surplus, s’emparer des terres et bâtiments de valeur, utiliser les forces de frappe et de police de ces « zones » conglomérées, etc.

Le nucléaire c’est très bien, surtout en France ou l’électricité n’était pas si chère, quand le monde est composé d’adultes et de grandes familles appelées nations. Pour préserver sécurité et intérêts particuliers, on s’arrange avec les voisins, on se respecte mutuellement, on ferme ses frontières. Et ça marche.

Laisser les gros prédateurs nous traiter en gamins ou en chiens, organiser la famine et la maladie, c’est la fin de tout.