Renaud Bouchard Renaud Bouchard 15 octobre 2020 19:28

@Luigi Cavaliere et bec à Foin

En vous remerciant de votre visite et de vos commentaires, cette analyse :

Nous passons donc à la gouvernance par le virus. Comme l’analyse Anne-Sophie Chazaud, il justifie désormais le droit pour le gouvernement de s’affranchir des règles de droit. La dictature sanitaire est désormais le prétexte à la dictature tout court. Bien sûr, comme tout ce qui se fait aujourd’hui, cela se fait au nom du bien, au nom de la santé. Or, cet état sanitaire dégradé est le fruit volontaire de l’action des gouvernement.
Bien sûr, ils n’ont pas créé le virus et on ne le comprend toujours pas complètement, mais on sait le soigner, ce que rappelle encore et toujours le professeur Raoult. Seulement il le fait avec des médicaments qui ne coûtent rien et qui mettent à bas ce mythe de la gouvernance par les nombres dans le domaine de la médecine qu’est l’EBM et qui voit la prise du pouvoir de médecins qui ne voient plus de patients mais passent leur temps à triturer des big data sur leurs ordinateurs. D’où la haine que suscite le professeur Raoult – dont les interventions sont des leçons de science, d’épistémologie et de sagesse pratique dans la conduite d’une politique qu’il faut écouter et réécouter – qui devient l’homme à abattre.
Ils n’ont pas créé le virus mais torpillé le système hospitalier. La France qui était une grande puissance industrielle, n’a plus les moyens d’hospitaliser 1500 personnes en lits de réanimation. Ils créent un climat de peur qui transforme le peuple en troupeau de moutons. 
Les individus sont réduits officiellement à n’avoir plus que le droit de travailler, réduits au statut clair de masse salariale/chair à canon. Le virus, pendant ce temps, malin, ne se réveillant qu’après 21h, ne circulant que la nuit et n’aimant rien tant que boire des coups et faire la fête, se marre, goguenard, pour redisparaître aussitôt aux premières lueurs de l’aube, c’est bien connu, quand la masse salariale s’ébroue, quand le parc humain a de nouveau le droit de s’activer afin de produire et de consommer tout un tas de choses le confirmant dans son néant existentiel. Le soir, cette masse soumise, privée sans broncher de liberté, fera tourner les sous-économies d’exploitation de livraisons à domicile, grassement alimentées en main d’œuvre importée à bas coût sur fond de dérégulation généralisée, dans le but de la fragiliser elle-même et de lui rappeler qu’elle n’a que le droit de danser frileusement sous le volcan et en silence en attendant sa propre perte.
 
On pourra toujours compter, comme à chaque fois, sur les délateurs et les collabos de tout poil pour dénoncer le voisin qui sort son chien trop souvent le soir, qui rejoint son amante dans la nuit épaisse et illégale ou le bistrot qui, pour survivre, sert quelques rondelles de saucisson avec un Saint-Marcelin en guise de restauration. Les nostalgiques de la rue Lauriston sont au taquet et la Kommandantur se pourlèche les babines, carnets de procès-verbaux à la main.
 
Les parlements n’existent plus, n’ont plus voix au chapitre, les peuples se soumettent sans quasiment la moindre révolte devant ces mesures absurdes (au regard du danger réel de ce virus à l’échelle de l’humanité).
 
Seul l’aspect mondial de cette dictature sanitaire en permet l’opérationnalité, servie par les tenants d’un mondialisme délirant, hors sol et officiellement entré en psychose collective.
 
Pour le moment, ça marche. Jusqu’à quand ?"

Source : Anne Sophie Chazaud et Claude Rochet : https://claude-rochet.fr/la-gouvernance-par-le-virus/


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