@Luc24
Sans entrer dans un débat sur la qualité et l’exactitude du contenu de Radio Québec, le fait est que ce site a été censuré par un tribunal invisible sur la base d’une appréciation non contradictoire du contenu. Aujourd’hui c’est Radio Québec mais demain, le tour de qui ?
Qui est habilité pour dire qu’un site est « complotiste » et sur quelles bases peut-il le faire ? Déjà, je rappelle que ce terme de « complotiste » qui n’existe pas en temps que tel dans le vocabulaire, est une construction visant de plus en plus à jeter l’opprobre sur quelqu’un sans que ce dernier puisse défendre sa position. 
Comme le faisait remarquer un lecteur, ce que dit Alexis Cossette Trudel est systématiquement sourcé. S’il doit y avoir contestation d’un contenu, cette contestation doit se focaliser sur la source elle même et non pas sur celui qui la présente d’autant plus que les affirmations de M. Cossette Trudel sont le plus souvent pluri sourcées. 
Je ne crois pas avoir écrit que Radio Québec était un média « Objectif » mais je vais relire mon texte. Non pas que je considère que ce média ne serait pas objectif mais parce que seul m’intéresse ici la censure dont il fait l’objet.
Enfin, je ne suis pas certain que Google, qui méprise les droits d’auteur et parfois ses obligations fiscales, soit en état de nous dire ce qui relève du bien et du mal, du vrai et du faux, de l’allégation de la démonstration.
Le drame contemporain est aussi là : de grandes entreprises de communication, au motif qu’elles sont présentes de partout, sont auréolées par certains d’une légitimité à faire de la censure et sont considérées comme détentrices de la bonne parole et de la vérité. Les prêts à penser que souhaitent nous imposer ces entreprises me paraissent douteux. Il serait préférable que Google se saisisse d’une affirmation d’Alexis Cossette Trudel pour en démontrer la fausseté. Il ne suffit pas de dire que c’est complotiste pour que cela le soit.