Adèle Coupechoux 22 octobre 2020 13:46

@pemile

Pas besoin d’un gourou pour me dire « réveillez-vous ».
C’est bien parce que je ne me suis jamais endormie que je n’ai pas de mal à me réveiller et ça au moins depuis le 16 mars.

Une maladie ne signifie pas épidémie, que ce soit grippe ou COVID. 
Soit je porte chance à tous ceux qui m’entourent car je n’ai pas un(e) seul(e) mort ou malade grave à déplorer autour de moi à cause de ce sars cov2...Et pourtant, j’en côtoie et j’en croise du monde qui en côtoie et en croise aussi autant que moi sinon plus.
Que ce soit en province ou à Paris. Des petits, des gros, des obèses, des vieux, des jeunes, des très jeunes. En train, en métro, à pieds, à l’hôpital, à la fac, dans les labos, sous les ponts, sur les marchés certes réduits à peau de chagrin non à cause du COVID mais à cause des restrictions.
Même BA est encore là pour nous égrenez tel un « véran » ses chiffres et ses alarmes sinistres. 
Non, je ne subis pas les attaques de ce virus, mais bel et bien celles de cette dictature sanitaire.
Au fait, 60% des patients meurent à l’hôpital. Alors, qu’il y ait des morts à l’hôpital n’est pas une nouveauté. En revanche, la nouveauté, c’est de refuser de ne soigner que le COVID, en déprogrammant d’autres patients et de nous alarmer quotidiennement avec une « épidémie » qui fait et fera surtout des morts indirects.


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