@Clouz0-
je ne sais pas s’il s’agit du même ? voilà ce qu’il écrivait récemment :
Je suis prof, et cette vraie laïcité, ce
goût de la pensée et de la parole libre, je souhaite continuer de les
promouvoir. Et je souhaite pour cela rester libre, maître de mes choix
pédagogiques, dans des conditions matérielles qui permettent de travailler.
Que reste-t-il en effet de la liberté
d’expression si l’on défend le droit à la caricature mais le droit à la
critique de la caricature ? Que devient le débat démocratique si toute critique
radicale de Charlie aujourd’hui, et qui sait Zemmour demain, Macron
après-demain, est d’office assimilée à une incitation à la violence, donc à la
complicité de terrorisme, donc proscrite ?