moderatus moderatus 30 octobre 2020 16:37

@Amanite phalloïde

Après l’horreur des tueries de la basilique de Nice, on se rend compte à quel point, non seulement les pouvoirs publics sont dépassés, mais à quel point ils ont fait de l’intox, de concert avec l’Union européenne, sur toutes les problématiques liées à l’immigration, l’islamisme ou encore le terrorisme...
L’assassin, un Tunisien de 21 ans, a « bénéficié » d’un statut de réfugié politique tout en ne l’étant pas. La Tunisie n’est ni en guerre ni une dictature et cette pourriture n’avait aucune qualification. Pourquoi est-ce qu’on l’a autorisé à rentrer sur le sol européen, a y rester et pourquoi n’a-t-il pas été expulsé et mis immédiatement dans un avion à destination de son pays d’origine ?
Comment et pourquoi un pays comme la France qui a 6 millions de chômeurs, 9 millions de pauvres et qui est surendetté, accepte-t-il encore plus de migrants pour lesquels il n’a ni emplois, ni logements et qui vont partager le « gâteau » des prestations sociales qui est de plus en plus mince et qui ne suffit plus aux Français ou aux personnes résidant en France, légalement ou pas ?

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Je n’ai pas une ligne à retrancher à tout ce que vous avez écrit et que je partage.
Mais l’idéologie mondialiste empêche le pouvoir de voir les réalités et donc de prendre les mesures pour lutter contre cette immigration folle qui nous mène au chaos.

Il faudrait en plus revoir notre état de droit et le mettent au niveau de a situation que nous vivons , d’une guerre contre l’islamisme.

La solution , réformer l’état de droit

Il est urgent de restaurer l’autorité de l’État en rétablissant l’ordonnancement juridique naturel fondé sur le suffrage universel national, seul juge dans une démocratie souveraine. Cela passe par une révision constitutionnelle qui rétablisse la supériorité des lois sur les traités et accords internationaux antérieurs (article 55) et précise que l’expulsion des étrangers relève uniquement de l’autorité administrative, en écartant le juge judiciaire (article 66).


Je crains que rien ne soit fait dans ce sens ;



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