velosolex velosolex 6 novembre 2020 01:06

@Clocel
« Le pauvre bœuf n’a plus grand chose à perdre faut dire ».

On dit ça tant qu’on est pas sous le couteau du boucher.....

On relativise ce qui est vital au fur et à mesure de la vie, et qu’on perd des pièces. Les vieillards sont prudents, se font chaque année vacciner contre la grippe, alors que les jeunes, bien qu’en pleine forme, ont des conduites à risques .
C’est bien connu, dans les guerres, les jeunes jouent au héros, les anciens se planquent. 
C’est grâce à ça qu’ils deviennent des anciens combattants. Des héros. 
C’est ce que se dit le bœuf, quand il vient déposer des fleurs sur la tombe de son grand père, el toro. 
Les couilles des taureaux morts étaient vendus très chers dans les boucheries de Séville. 


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