Nous sommes confrontés au choix exprimé par le Pari de Pascal : soit nous acceptons de demeurer confinés dans l’espoir d’en sortir libre ; soit nous vivons au risque de contracter la maladie.
Ni la sortie libre, ni la maladie ne sont certains.
Dans ce cas, les premiers ont fini leur vie.
Les seconds seuls auraient une chance de s’en poursuivre une vie libre.
Je dis « auraient » parce que leur sort est lié à celui du camp majoritaire qui choisit le confinement.