Pour démarrer un plan Marshall sanitaire (le grand « reset » n’est rien d’autre), il fallait bien que les états et les secteurs économiques susceptibles de recourir à des emprunts fussent ruinés comme ils l’avaient été par les V2 et les bombes des B17, sauf que là, les dégâts sont financiers et psychiques. Les séquelles seront pires que les gueules cassées et les orphelinats : les hpotaux psychiatriques commencent déjà à être plus engorgés de les salles de réanimation.