Retour à la case départ donc :
après le coup de Poutine, qui a fait dépecer l’Arménie par son chien fou azéro-turc (scène déjà vue ailleurs et amenée à se reproduire plus tard), la question de la viabilité de l’Arménie est posée :
un pays qui doit compter sur le bon vouloir de Moscou pour simplement (sur)vivre n’a plus vraiment de souveraineté.