@michalac

Selon les années, les virus grippaux interviennent plus ou moins tôt dans la saison. Parfois dès la mi-octobre, parfois fin novembre, parfois janvier, etc.

Pourquoi parlez vous de 2ème vague ? Celle ci n’a pas existé. Vous vous fiez à quels chiffres pour parler de 2ème vague ? 

Pour ne pas paraitre « trop » complotiste, je livre la définition de Wikipédia d’une épidémie : « Une épidémie désigne l’augmentation rapide d’une maladie en un lieu donné sur un moment donné. »
Il est question de « maladie » et non de cas positifs à des tests. Ces personnes qui faisaient la queue sur les trottoirs pour se faire « dépister » n’étaient pas « malades ». Le nombre de cas positifs à un test PCR ne représente pas un nombre de « malades ». 
Je formule donc à nouveau ma question : sur quels chiffres appuyez vous vos propos pour parler de 2ème vague ? 

Comme chaque année, depuis des centaines d’années, les virus respiratoires aérosols toucheront l’espèce humaine et ils feront des victimes chez ceux qui ont une immunité affaibli. C’est juste dans l’ordre des choses. 

Les chiffres d’Euromomo, au « Z scores by country » nous montrent pas A + B toute la supercherie du SARS-COV2. Parce que, en effet, il y a des pays qui ne présentent, au regard des années précédentes, strictement aucune variation de leur mortalité.
Ceci prouve que le SARS-COV2 n’était pas le « tueur » qui nous a été décrit puisqu’il n’a pas semé de dégâts dans de nombreux pays. Dans des pays comme la France, évidemment, en refusant de soigner les malades à domicile, en refusant certains soins, le chiffre des victimes est monté en flèche. Ceci mériterait une comparution devant la justice ! 

Autriche, Chypre, Danemark, Allemagne, Grèce, Hongrie, Luxembourg, Malte, Norvège, aucune incidente du SARS-COV2 sur la mortalité. Strictement aucune !
Des explications peut— être michalac ? 
 
https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps