velosolex velosolex 22 novembre 2020 17:59

@pemile
Je posais la question sur le vaccin des autres, bien sûr. La chine aurait sans aucune doute préféré être le distributeur exclusif. On observe qu’elle a attendu que les autres trouvent, pour sortir le bout de son nez à ce sujet, comme si l’épidémie était une affaire en soi, avant que le vaccin en devienne une autre. 
Déjà la chine avait joué au « good guy » on s’en souvient, en envoyant des masques à l’Italie dans un grand geste de générosité très médiatisé. 
Anecdotique pourtant dans la quantité. Avant de faire tourner ses usines à plein régime pour équiper le monde entier, et faire sa pub sur la gestion de la maladie, après l’avoir ventilé aux autres. 
La moindre des précautions, et de l’élégance, quand on ferme ses villes, et même ses rues, c’est d’empêcher le covid de prendre l’avion. 
Les médecins lanceurs d’alerte sont morts, ou ont disparu. Seule Taïwan, admonesté et mis à l’écart par L’OMS, dans la main des chinois, a pu s’en sortir, très au courant des pratiques chinoises
. Instinctivement, à la vue de ce qui s’est passé, et qui n’a pas été mis au clair, dans le labo de Wuhan, je ne ferais pas confiance au vaccin chinois. Question d’intelligence aussi. Est ce que le pays d’où est sorti l’épidémie, doit en profiter ? ...La question du profit se pose. Mais elle devrait être encadrée par un fait fort simple. Si le vaccin n’est pas distribué à tous les pays sur cette terre, il reviendra indubitablement, dans une forme évolutive qui rendrait caduque ce vaccin ci. Il faut donc enrayer vite, et de façon systématique.
Faire du fric sur le vaccin en jouant la montre, et en jouant la pénurie pour faire monter les prix, revient à jouer à la roulette russe avec un revolver.
Il arrive parfois que la fable de la Fontaine sur le scorpion et la grenouille soit d’actualité. 


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