LeMerou 23 novembre 2020 06:09

Très bon article.

Sur cet homme qui avait des convictions profondes et une vision de son pays. Qui avait pressenti aussi pendant son exil Londonien qu’une fois libérée sa France qu’il chérissait avant tout serait bassement partagée en morceaux ou mise sous tutelle.

Il pressentait aussi, qu’une fois libérée, sont pays allait être la proie des politiciens et de profiteurs en tous genres avides de pouvoir et d’argent.

Evidemment que l’ont peut lui reprocher des erreurs sans sa gouvernance, qui n’en n’aurait ou n’en fait pas. Mais dans quel état était le pays après la guerre ? Il a tout de même sut diriger le Navire avec toutes ses composantes, et cela dans un comportement assez exemplaire aux regards des « Elus ».

Une partie des « politichiens » se réfèrent, se vantent depuis sa disparition d’être dans le « Gaullisme » pour charmer les foules dans un seul et unique but, alors qu’ils sortent tous formatés d’un modèle administratif, utile certes, mais qui aujourd’hui nous empoisonne, nous paralyse, nous tue à petit feu, par un immobilisme totalement contraire à ce qu’était l’idée du « Gaullisme » qui il a été écrit.

La lourdeur de nos institutions est grand même grandiose, presque 900 « élus » tout de même pour diriger un pays de seulement 67 millions d’âmes. Je ne parle même pas du personnel associés à ces « élus » portant tellement de charges qu’ils ne peuvent mêmes pas être présent dans toutes leurs fonctions, ni évidemment des personnels associés dans les nombreux ministères.

La Nation, indéfectible et souveraine est désormais sous la coupe d’une idéologie Européenne rendant ainsi une partie de ses institutions inutiles car sans réel pouvoir.

Toute le contraire de ce qu’il pensait, elle se devait d’être économique, coopérative, permettant ainsi à chaque Pays de conserver sa souveraineté afin d’éviter la vassalisation Américaine, bref on peut constater qu’avec le temps sont idée de départ à bien disparue.

Beaucoup diront aussi que le modèle du « Gaullisme » à été sanctionné par les évènements d’Algérie, ceux de Mai 1968, dont ont ne parle plus aujourd’hui que des progrès sociaux acquis, mais rien du fondement réel, qui est un poil plus obscur, certes des changements devaient fait et ils ont fait grâce à cette « chienlit » pour reprendre un terme connu....

N’oublions pas non plus, les drapeaux noirs brandis par un député européen parfaitement intégré aujourd’hui dans l’idéologie qu’il à jadis combattu avec force.

Des centaines de lignes ont été écrites à propos de cet homme, car il a créé chez beaucoup (de moins en moins nombreux....) une certaine idée de la France paraissant bien désuète aujourd’hui face à l’idéologie multiculturaliste grandissante.

Mais peut être est-ce ça l’avenir.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe