« Il s’agit ici d’une
méconnaissance crasse par les parlementaires des dispositions constitutionnelle
sur la liberté de la presse. »
En laissant une étrangère se mêler de
nos lois, Les Parlementaires ont encore une méconnaissance crasse du couplet 3
de Notre Merveilleuse Marseillaise qui est constitutionnelle :
«
Quoi ! Des cohortes étrangères
Feraient
la loi dans nos foyers !
Quoi
! Des phalanges mercenaires
Terrasseraient
nos fiers guerriers ! (Bis)
Dieu
! Nos mains seraient enchaînées !
Nos
fronts sous le joug se ploieraient !
De
vils despotes deviendraient
Les
maîtres de nos destinées ! »