Régis DESMARAIS Régis DESMARAIS 25 novembre 2020 22:22

Bonsoir Bernard, vous décrivez la France comme un corps malade dont les cellules s’agitent pour vaincre un déferlement de cellules contaminées, contaminantes. La France est soumise à des mesures de confinement dont on n’est pas certain de la pertinence. La France va mal mais ce pays a connu des heures bien plus affreuses. Un roi jadis attendait entre ses murailles un signe pour se faire sacrer à Reims. Autour de lui, il n’y avait que défiance, trahison et le pays était livré à des mercenaires et des troupes anglaises

sans pitié. Le royaume se disloquait, la France se désagrégeait, cela a duré un siècle. Mais dans ce pays, une volonté, une foi, une ferveur, une envie de vivre ourdissaient de toute part. Un matin, une jeune femme est venu chercher ce Roi. Une arrivée improbable, un sacre inespéré et l’ennemi lentement défait. Le fils de ce roi a ressoudé les morceaux du royaume et les a cimenté en introduisant la notion d’Etat. La France va mal aujourd’hui mais elle se relèvera. Des individus contestent les décisions prises. Un frémissement arrive. Nous surmonterons les drames d’aujourd’hui mais à une condition : de nous réunir tous et de nous lever pour dire non. A un moment donné, l’action va devoir succéder à l’écriture. Une action que je souhaite pacifique mais déterminée, volontariste et massive. Les « covidés » n’existent que dans les troubles qui agitent nos politiques dépassés par une machine qu’ils ne contrôlent plus.


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