Samson Samson 26 novembre 2020 23:02

« Ce premier génocide éclaire différemment le second qui n’apparaît plus seulement comme l’œuvre d’un dictateur démoniaque et de sa clique nazie, mais comme celle d’un Etat-Nation qui inscrit l’extermination comme une pratique dans l’histoire de sa naissance. »

Dans « La Mort est mon métier », pseudo-mémoires de Rudolph HoB, commandant du camp d’Auschwitz, écrites par Robert Merle, il est fait mention de la participation des troupes allemandes alliées aux Turcs dans le génocide arménien.

De fait, l’idéologie pan-germaniste est bien antérieure à Hitler, qui n’a fait que s’y conformer en poussant sa logique jusqu’à la Shoah.

La rigueur d’« éducation » prussienne était impitoyable : pour avoir fait une sottise à l’âge de 10 ans, un de mes arrière grand-pères s’est vu proposer par son propre père le choix de sa mise à mort, « pédagogie » suffisamment traumatisante pour que l’« anecdote » se soit déjà transmise sur quatre générations ! smiley


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