@Martha
Merci pour votre commentaire.
C’est vrai que pour les achats immobiliers par exemple, ça marchait plutôt bien entre 1948 et 1983 on va dire : le crédit foncier prêtait aux banques privées, qui à leur tour prêtaient aux particuliers.
Mais à mon avis ce n’est pas stable. Car la représentation nationale, si on lui laisse la création monétaire, elle se sent toute puissante comme une foule, et il se passe n’importe quoi.
Sachant que la situation actuelle est inverse, puisque le capital tient dans sa main la représentation nationale. Moi je suis pour l’équilibre : le capital d’un côté, la représentation nationale de l’autre côté, et l’État qui fait pivot entre les deux.
Ils jouent à la balançoire en fait. C’est un peu puéril, mais c’est pérenne.