En effet, ’’... Merci à Balavoine et à Coluche d’avoir su généraliser le don, avec
les Restaurants du cœur. Ils ne pouvaient cependant prévoir qu’un jour
la charité se donnerait à ce point en spectacle.’’
Surtout à Daniel Balavoine.
La chanson des enfoirés m’a toujours fait râler, je trouve très malsain son second degré : « Aujourd’hui on n’a plus le droit, ni d’avoir faim ni d’avoir froid. »