JC_Lavau JC_Lavau 12 décembre 2020 14:20

@JC_Lavau. J’ai déjà développé plusieurs fois pourquoi la mythologie des « monopôles magnétiques » est une impasse.
En 1894, Pierre Curie avait déjà prouvé que le champ magnétique a toutes ses symétries opposées à celle d’un champ vectoriel. Hélas, il s’est exprimé en notations de cristallographes, que presque personne ne déchiffre. Hélas, jamais il n’a rencontré de son vivant l’outil mathématique convenable, élaboré à partir de 1892 par Gregorio Ricci-Curbastro, appelé à l’époque « calcul différentiel absolu ». Le premier physicien à s’en emparer fut Woldermar Voigt, qui l’appliqua aux constantes élastiques d’un cristal. Essayez un peu de faire pénétrer « tenseur antisymétrique du second ordre » dans un atelier, j’aimerais bien assister à l’opération. Aussi je l’ai rebaptisé « gyreur ». Champ magnétique B, polarisation magnétique, moment angulaire, vitesse angulaire, moment d’une force sont des gyreurs. Tandis que le potentiel magnétique A, le champ électrique E, l’accélération de la pesanteur sont de vrais champs vectoriels.

Le théorème des hérissons, « Il est impossible de peigner intégralement une boule poilue », est un obstacle infranchissable au mythe des « monopôles magnétiques ».

L’autre obstacle infranchissable, est la démonstration relativiste : la force de Laplace n’est autre que le mirage relativiste qui fait voir avec une densité différente les cations métalliques du conducteur et les électrons du courant électrique. Zéro troisième vecteur dans la troisième dimension ; tout est plan. Calcul déjà exposé par Feynman dans son cours à Caltech, et que j’avais complété là :
http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,1302.0.html


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