titi titi 18 décembre 2020 14:14

@ETTORE

Il se trouve que des appels d’offre j’y répond en France, mais aussi ça m’est arrivé dans ces pays.

Les appels d’offre biaisés j’ai eu un doute une fois dans le Nord de la France.
J’ai intenté une action en justice, et j’ai été débouté.
Pour tous les autres je ne vois pas de tricherie, mais beaucoup d’incompétences de la part de ceux chargés de prendre des décisions : des cahiers des charges copiés/collés sur des sujets techniques hyper pointus et pas du tout maîtrisés.
Et très clairement quand un directeur général des services ne comprend rien à un sujet, ou même se rend simplement compte que ses agents sont cons comme des chaises, et bien il choisit la facilité : il refile tout à Véolia/Suez/Vinci (rayez les mentions inutiles) et il achète sa tranquillité.

Mais je ne suis pas dupe : la première affectation de Mazarine Pingeot était dans l’académie d’Aix. L’ESN qui gère les projets informatiques de la DGFIP c’est Atos présidée par Thierry Breton... la plupart des projets ayant été lancés par Breton Thierry alors ministre du l’économie.

Mais avez vous bien vu l’article avant de réciter votre catéchisme ?

Ce que dénonçaient les « révolutionnaires » tunisien ce n’est pas la corruption du « sommet », car elle existe aussi là bas. Et elle existe encore plus car si chez nous elle prend la forme du copinage et du pantouflage entre énarques, X, science po, là bas c’est la famille au sens large, la tribu.

Ce que dénonçaient les révolutionnaires c’est la corruption systématique de la moindre personne ayant le moindre petit pouvoir, qui se traduit par des chicaneries administratives sans fin.

Et là désolé mais on n’est pas du tout dans la même catégorie.

Ca c’est ça qui pourrit la vie.


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