velosolex velosolex 18 décembre 2020 22:50

@Captain Marlo
Etonnant de croire que la voiture ne rejette que de la vapeur d’eau...Les capteurs au dessus des villes doivent avoir la berlue, de même que les lunettes qui doivent être trop sales pour obscurcir la vue.
Vous ne deviez pas ignorer que l’augmentation du carbone, et des particules n’est spas liée qu’a la pollution des bagnoles, mais que leur arret précisément montre l’impact prodigieux de la pollution liée aux activités agricoles,. 

« Les gaz à effet de serre emprisonnent la chaleur dans l’atmosphère, font monter les températures et intensifient les conditions météorologiques extrêmes, la fonte des glaces, l’élévation du niveau de la mer et l’acidification des océans.

Les trois principaux gaz à effet de serre persistants — le dioxyde de carbone, le méthane et le protoxyde d’azote — ont encore atteint des records de concentration en 2019, selon l’OMM. Or, le dioxyde de carbone, résultant notamment de l’utilisation des combustibles fossiles, de la production de ciment et de la déforestation, demeure pendant des siècles dans l’atmosphère et encore plus longtemps dans les océans.

Sa teneur dans l’atmosphère a augmenté plus rapidement entre 2018 et 2019 qu’entre 2017 et 2018 et que sur les dix dernières années en moyenne.

«  La dernière fois que la Terre a connu une teneur en CO2 comparable, c’était il y a 3 à 5 millions d’années : la température était alors de 2 à 3° C plus élevée qu’aujourd’hui et le niveau de la mer était supérieur de 10 à 20 mètres au niveau actuel, mais nous n’étions pas 7,7 milliards  » d’êtres humains, a poursuivi Petteri Taalas.

Quant au méthane, dont 60 % des rejets dans l’atmosphère sont d’origine humaine (élevage de ruminants, riziculture, exploitation des combustibles fossiles, décharges...), sa teneur a augmenté légèrement moins rapidement entre 2018 et 2019 qu’entre 2017 et 2018, mais plus vite que sur les dix dernières années en moyenne.

Enfin, le taux d’accroissement de la concentration de protoxyde d’azote, à la fois un gaz à effet de serre et un produit chimique appauvrissant la couche d’ozone, est resté pratiquement égal à la moyenne des dix années précédentes. Ses émissions dans l’atmosphère sont à 40 % d’origine humaine (engrais, procédés industriels...) mais pour le reste d’origine naturelle. »

source reporterre


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