le parrallèle n’est pas infondé, mais c’est quand même des situations très différentes . Par exemple, jusque là en tout cas, personne ou presque ne se dit qu’il met sa vie, sa liberté en danger si il dit non . La plupart ferment leur gueule parce qu’ils ne savent simplement plus quoi ou qui croire .
Bon ça pourrait changer au vu de l’évolution des choses, des internements forcés et des yeux arrachés . Mais le principal sentiment qui mène a l’inaction me semble plus la perplexité et le désengagement social généralisé que la peur