njama njama 11 janvier 2021 15:28

Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19
(...) Ainsi, à toute personne qui tenterait de me convaincre de me faire vacciner contre la COVID-19, je répondrai, clairement et simplement :

« Si c’est ma santé qui vous préoccupe, donnez-moi de l’azithromycine et de l’hydroxychloroquine, ou de l’ivermectine et de la doxycycline, ainsi que de la vitamine D et du zinc, car je sais, publications scientifiques et témoignages de médecins de renommée internationale à l’appui, que ces traitements fonctionnerons si j’attrape la COVID-19, et je n’ai donc pas besoin d’être vacciné. Si vous n’êtes pas convaincu par ce que je dis, voici la liste des publications sur le sujet : https://c19study.com/. Si vous n’êtes toujours pas convaincu, lancez des essais randomisés testant ces traitements en médecine ambulatoire. Et si vous voulez que les gens fassent à nouveau confiance aux vaccins, mobilisez des commissions d’enquêtes indépendantes pour mesurer leurs liens possibles avec l’autisme et permettre aux lanceurs d’alerte de témoigner sous serment. Et dans la foulée, demandez la mise en œuvre d’une vaste enquête internationale sur les liens et conflits d’intérêt entre industrie pharmaceutique et pouvoirs publics ».

Il y aurait beaucoup à dire sur les vaccins contre la COVID-19 mais je m’arrêterais la, car ces arguments, aussi simples soient-ils, me paraissent irréfutables et suffisants pour justifier un refus de se faire vacciner. Sans doute nos gouvernants ne voudront pas les entendre, car choisir l’ivermectine et la doxycycline plutôt que les vaccins, c’est supprimer, dans la fraction de seconde où se fait ce choix, les centaines de milliards de dollars de profits que l’industrie pharmaceutique et ses actionnaires se préparent à recevoir. Ces gens feront bien évidement tout ce qu’ils peuvent pour empêcher toute décision en défaveur des vaccins. J’espère donc que nous serons nombreux à partager cette résistance non pas aux vaccins (je ne suis absolument pas un anti-vaccin) mais a ce vaccin dans ce contexte. Nous devons faire entendre raison à nos gouvernants afin de rendre enfin disponible, massivement, les traitements contre la COVID-19, ce qui rendrait la vaccination inutile ou quasiment-inutile, pour une prise en charge précoce des patients COVID-19, notamment dans les maisons de retraite ou ils continuent de mourir non pas de la COVID-19, mais des erreurs de décideurs et Comités qui n’ont pas pris le temps de lire la littérature scientifique.

Jacques Pollini, anthropologue chercheur associé à l’Université Mc Gill de Montréal


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