@njama
Le point crucial, ce sont les pics,
le reste n’a rien à voir avec l’apocalypse distillée par la télé depuis dix
mois
La « gestion » du phénomène ressemble plus à un parapluie administratif destiné à couvrir les « responsables » sanitaires et protéger leurs carrières en évitant une surcharge des services de santé exsangues après les purges budgétaires qu’à la catastrophe mondiale lancée et entretenue par l’OMS gangrénée par la big pharma.