@siatom
il va falloir créer une échelle de Richter de l’infamie et de la turpitude :
— niveau 1 : ceux qui abusent d’un enfant
— niveau 2 : ceux qui le font avec leur progéniture
— niveau 3 : ceux qui, en plus, posent en parangon de vertu
— niveau 4 : ceux qui, comme Finkelfraut, se demandent si l’enfant était consentant.
pour les niveaux suivants, il faut simplement faire la même chose que pour les femmes violées :
— niveau 5 : c’est l’enfant qui a provoqué par des simagrées ambigües
— niveau 6 : il y a pris du plaisir
— niveau 7 : il en a redemandé, et c’est lui qui venait réveiller le pauvre accusé pour recommencer
il est plus simple d’appeler un chat un chat et de condamner pour ce que cest un viol sur mineur