ETTORE ETTORE 13 janvier 2021 19:59

Bonsoir Olivier.

Quelle excitation ce « virus »....A croire qu’il « vibre et vit » de nos peurs.

Il semble très bien proliférer, au dessus de cette « paillasse » formée de tous les instruits et autres donneurs d’ordres.( et de leçons)

Mais, tout ce que l’on peut constater, aujourd’hui, dans la réalité, vraie, n’est que :

INCERTITUDES, RETARDS, INCOMPETENCES, DISSONANCES, HESITATIONS 

Depuis Janvier dernier, nous avons un état perpétuellement en retard SUR TOUT.

Sur les fournitures, sur l’information, sur les soins, sur l’organisation, MAIS, pour donner le change, communique sur la vaccination ( faute de la faire) maniant, menaces et coercitions, parce que ce sont les seuls bras qu’il possède.

Ce surfeur fou, qui attend toujours de voir la vague le dépasser et qui rame désespérément vers la suivante, avec ses m(o)ignons, en sachant pertinemment bien, qu’il ne la chevaucheras jamais.

Déjà qu’on à l’impression, que ce « bal des survivants », semble bien organisé sur d’autres points, mais bien lointains des intérêts de la population.

Voilà donc, après la souche anglaise, que se profile la Japonaise importée to Brasil.

Et toujours autant d’incertitudes sur l’efficacité des vaccins devenus antédiluviens .

« Mais si, mais si, ils couvrent tout, de la première variante et toutes celles qui peuvent encore éclore, nous sommes les plus forts des virus mensongers »

A la limite, en se disant, que cette grippe comme toutes les autres, aurait pu être soignée si les infrastructures étaient disponibles, et même si mutation il y avait, c’est dans l’ordre naturel.

Aujourd’hui, on a plus l’impression que des savants fous, se sont invités dans le bal, et nul ne sait ( encore moins eux) si leur « vaccin » bidouillé, n’est pas une nouvelle forme d’aide à la mutation de ce virus.

L’as t’on aidé à continuer à vivre, plutôt que, de l’éradiquer, sagement ?

Couvrons, couvrons, re-re-re-re confinons.....Il faut juste voir dans cet unique solution, l’impuissance lumineuse, de tous ceux qui se disent, avoir les choses en main, et qui, en définitive, n’ont que des mains, très très sales.


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